Incorrigible politicard
Les mots ne manquent pas pour qualifier l'attitude et le comportement de notre édile en chef. Mais vous n'en trouverez pas dans ce billet.
Prenons l'organe principal de la politique de communication des élus de la majorité, j'ai nommé "le claix mag"
Voici donc que notre élu souhaite surtout ne pas parler d'impôt ou d'opposition : il choisit de positiver
Dans son édito, il commence donc par ... parler de ce dont il ne veut surtout pas parler !
"J'ai longuement hésité sur le sujet de cet édito" (je n'ai que ça à faire).
"Devais-je vous informer du nouvel impôt sur les ménages mis en place par la Métro ?" (non merci, ce n'est pas à vous de le faire et cela vous ferait bien trop plaisir)
"(10 millions d'euros qui seront pris dans votre porte monnaie)" (et voilà, il n'a pas pu s'en empêcher).
"ou encore vous commenter les affirmations peu objectives de l'opposition ?" (on aimerait bien car on ne voit pas de quoi il parle)
Encore une fois, il s'agit d'un abus de position dominante. Le maire nous doit un édito "droit de réponse" suite à un édito où il nous traitait de voleur de voix. On attend toujours.
Et si l'on se rend à la page "expression politique", alors là, c'est le déchainement ! "contradiction, méconnaissance des dossiers" Il nous reproche de ne pas être à la hauteur du débat que les claixois attendent.
C'est mal nous connaître car depuis le début de notre mandat, nous approfondissons tous les dossiers sur lesquels nous travaillons, nous faisons des propositions de délibérations et l'entourloupe stylistique qu'il utilise pour détourner le sens de la délibération sur la taxe sur la cession des terrains nus rendus constructibles témoigne d'un puissant esprit tortueux, un esprit de politicien, de politicard devrais-je dire, incorrigible évidemment.
Rendez-vous tous le jeudi 2 avril à 19 heures dans la salle du conseil municipal pour nous soutenir !
Prenons l'organe principal de la politique de communication des élus de la majorité, j'ai nommé "le claix mag"
Voici donc que notre élu souhaite surtout ne pas parler d'impôt ou d'opposition : il choisit de positiver
Dans son édito, il commence donc par ... parler de ce dont il ne veut surtout pas parler !
"J'ai longuement hésité sur le sujet de cet édito" (je n'ai que ça à faire).
"Devais-je vous informer du nouvel impôt sur les ménages mis en place par la Métro ?" (non merci, ce n'est pas à vous de le faire et cela vous ferait bien trop plaisir)
"(10 millions d'euros qui seront pris dans votre porte monnaie)" (et voilà, il n'a pas pu s'en empêcher).
"ou encore vous commenter les affirmations peu objectives de l'opposition ?" (on aimerait bien car on ne voit pas de quoi il parle)
Encore une fois, il s'agit d'un abus de position dominante. Le maire nous doit un édito "droit de réponse" suite à un édito où il nous traitait de voleur de voix. On attend toujours.
Et si l'on se rend à la page "expression politique", alors là, c'est le déchainement ! "contradiction, méconnaissance des dossiers" Il nous reproche de ne pas être à la hauteur du débat que les claixois attendent.
C'est mal nous connaître car depuis le début de notre mandat, nous approfondissons tous les dossiers sur lesquels nous travaillons, nous faisons des propositions de délibérations et l'entourloupe stylistique qu'il utilise pour détourner le sens de la délibération sur la taxe sur la cession des terrains nus rendus constructibles témoigne d'un puissant esprit tortueux, un esprit de politicien, de politicard devrais-je dire, incorrigible évidemment.
Rendez-vous tous le jeudi 2 avril à 19 heures dans la salle du conseil municipal pour nous soutenir !