Secousses à Claix
"Le terre a tremblé dans la soirée de jeudi....Une secousse sismique a fait trembler le Grésivaudan durant quelques instants peu avant 23 heures jeudi. (extrait du DL du samedi 3 octobre, page 4)."
page 13 du même DL, je recherche désespéremment la grosse secousse ressentie à Claix dans la même soirée de jeudi, entre 19 et 22h30, l'épicentre étant assez précisément localisé dans la salle du conseil municipal à la Mairie, mais rien n'a filtré. Juste un article un peu fadasse sur le conseil municipal qui s'y tenait à la même heure.
Et ce n'est pourtant pas le huis clos qui en est la cause.
Pourtant le sol a tremblé sous les martèlements vocaux de notre Thierry Lande local. Car il y en avait à redire à ce conseil : des arrêtés du maire qui manquent, des oublis dans les registres ou pire, trop de choses dans les registres.
A tel point que pour préserver la confidentialité de certaines informations, nous avons du exiger le huis clos pour exposer le litige.
Le huis clos n'est pas chose commune lors d'un conseil. Il peut être demandé par plusieurs membres du conseil, le maire peut l'accepter ou non. Dans notre cas, il l'a accepté. La demande a été soumise au vote du conseil. Voici donc tout notre public suivi de la journaliste du DL qui trottine vers la sortie. Mais qu'ont ils bien pu penser lorsqu'ils sont revenus vingt minutes plus tard. Ont ils essayé de lire sur nos visages ce qui avait bien pu se dire ? sans doute. Je n'en dirai pas plus.
Je reviens donc aux martèlements de notre conseiller Thierry Lande. Ils sont nombreux. Absence des registres de la nomination d'un avocat pour les indemnités des élus, équité de la PVR sur l'ensemble de la commune et j'en passe. Mon étonnement ? devant la précision et la justesse des propos de Thierry, le maire écoute, bafouille, essaie de s'en sortir comme il peut.
Les délibérations, certes peu nombreuses, défilent. J'interviens sur celle des demandes de subvention de deux associations claixoises, les boulistes et le tennis. Compte-tenu du fait que nous sommes surpris que Claix Tennis demande une subvention exceptionnelle de 1000€ pour les festivités de son trentenaire (comme si cette association découvrait soudain qu'elle a trente ans cette année), nous souhaitions dissocier ces deux demandes de subvention. Ainsi, nous aurions pu voter "pour" les boulistes et leur 800€ de subvention exceptionnelle pour leur participation au championnat de France et "contre" pour celle de Claix Tennis. Heureusement, le maire nous explique que la demande initiale de Claix Tennis était de 1500€, qu'il a lui même fait remarquer le caractère excessif de cette demande et a réussi à la ramener à 1000€. De ce fait, nous acceptons et votons les deux subventions.
Quand arrivent les tarifs culturels de la saison 2009-2010, les choses changent. C'est Clarisse qui prend la parole. Absence de concertation sur la politique tarifaire contrairement à la salle festive. Nous attendions une segmentation plus complète basée sur une politique non discriminante et non une baisse vertigineuse des tarifs. Qu'en est-il du prix de cession des spectacles avec une telle politique de dumping culturel ? Cette politique est-elle pérenne ? On ne peut pas faire du yoyo avec les tarifs. Tels sont les idées que Clarisse a développées lors de son exposé, en insistant sur la nécessité de travailler au sein d'une commission sur le sujet.
Nos questions orales portent sur la PVR, la répartition des logements sociaux et l'hébergement d'urgence. Je vous laisse lire le détail sur le site de Claix Rainette.
Pour résumer ce conseil où les élus de la majorité ont semblé fortement déstabilisé, le maire y compris, je dirais qu'aucun conseil n'est une routine et que celui-ci a laissé un arrière goût d'amateurisme dans les affaires, allez y comprendre quelque chose avec notre maire" vintage".
page 13 du même DL, je recherche désespéremment la grosse secousse ressentie à Claix dans la même soirée de jeudi, entre 19 et 22h30, l'épicentre étant assez précisément localisé dans la salle du conseil municipal à la Mairie, mais rien n'a filtré. Juste un article un peu fadasse sur le conseil municipal qui s'y tenait à la même heure.
Et ce n'est pourtant pas le huis clos qui en est la cause.
Pourtant le sol a tremblé sous les martèlements vocaux de notre Thierry Lande local. Car il y en avait à redire à ce conseil : des arrêtés du maire qui manquent, des oublis dans les registres ou pire, trop de choses dans les registres.
A tel point que pour préserver la confidentialité de certaines informations, nous avons du exiger le huis clos pour exposer le litige.
Le huis clos n'est pas chose commune lors d'un conseil. Il peut être demandé par plusieurs membres du conseil, le maire peut l'accepter ou non. Dans notre cas, il l'a accepté. La demande a été soumise au vote du conseil. Voici donc tout notre public suivi de la journaliste du DL qui trottine vers la sortie. Mais qu'ont ils bien pu penser lorsqu'ils sont revenus vingt minutes plus tard. Ont ils essayé de lire sur nos visages ce qui avait bien pu se dire ? sans doute. Je n'en dirai pas plus.
Je reviens donc aux martèlements de notre conseiller Thierry Lande. Ils sont nombreux. Absence des registres de la nomination d'un avocat pour les indemnités des élus, équité de la PVR sur l'ensemble de la commune et j'en passe. Mon étonnement ? devant la précision et la justesse des propos de Thierry, le maire écoute, bafouille, essaie de s'en sortir comme il peut.
Les délibérations, certes peu nombreuses, défilent. J'interviens sur celle des demandes de subvention de deux associations claixoises, les boulistes et le tennis. Compte-tenu du fait que nous sommes surpris que Claix Tennis demande une subvention exceptionnelle de 1000€ pour les festivités de son trentenaire (comme si cette association découvrait soudain qu'elle a trente ans cette année), nous souhaitions dissocier ces deux demandes de subvention. Ainsi, nous aurions pu voter "pour" les boulistes et leur 800€ de subvention exceptionnelle pour leur participation au championnat de France et "contre" pour celle de Claix Tennis. Heureusement, le maire nous explique que la demande initiale de Claix Tennis était de 1500€, qu'il a lui même fait remarquer le caractère excessif de cette demande et a réussi à la ramener à 1000€. De ce fait, nous acceptons et votons les deux subventions.
Quand arrivent les tarifs culturels de la saison 2009-2010, les choses changent. C'est Clarisse qui prend la parole. Absence de concertation sur la politique tarifaire contrairement à la salle festive. Nous attendions une segmentation plus complète basée sur une politique non discriminante et non une baisse vertigineuse des tarifs. Qu'en est-il du prix de cession des spectacles avec une telle politique de dumping culturel ? Cette politique est-elle pérenne ? On ne peut pas faire du yoyo avec les tarifs. Tels sont les idées que Clarisse a développées lors de son exposé, en insistant sur la nécessité de travailler au sein d'une commission sur le sujet.
Nos questions orales portent sur la PVR, la répartition des logements sociaux et l'hébergement d'urgence. Je vous laisse lire le détail sur le site de Claix Rainette.
Pour résumer ce conseil où les élus de la majorité ont semblé fortement déstabilisé, le maire y compris, je dirais qu'aucun conseil n'est une routine et que celui-ci a laissé un arrière goût d'amateurisme dans les affaires, allez y comprendre quelque chose avec notre maire" vintage".